Ariège Catholique

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Aumônerie catholique du CHIVA
Bureau de l'aumônerie du CHIVA

« Je m’appelle Albert, j’ai 91 ans. Je suis veuf et mon fils vit à Paris. L’an dernier j’ai été hospitalisé au CHIVA pendant plusieurs semaines. J’ai été heureux de voir qu’il y avait une aumônerie catholique. J’ai pu recevoir des visites régulièrement et la communion à ma demande. La présence Humaine et la possibilité de vivre ma foi m’ont permis de vivre mon hospitalisation plus sereinement. Ça a beaucoup rassuré mon fils aussi »

« Moi c’est Pierrette. J’ai 63 ans et suis atteinte d’un cancer. Je suis catho pratiquante et c’est tout naturellement que j’ai demandé à être accompagnée par l’aumônerie du CHIVA. Ainsi, à chacune de mes chimios je reçois une visite. Je me sens écoutée et soutenue. Je suis une femme, une mère et grand-mère. Je parle de la Vie, de ma VIE. Je ne suis pas que ma maladie »

« Annie est ma voisine. Elle n’est pas du tout « Église ». Quand j’ai su qu’elle était hospitalisée, avec son accord, je l’ai signalée à l’aumônerie. Elle qui est assez isolée dans la vie a pu recevoir des visites d’amitié. N’est-ce pas ça aussi le sacrement du frère ?

« Je m’appelle Béatrice. Je suis heureuse d’avoir rejoint l’équipe d’aumônerie du CHIVA menée par Fabienne. Je rends visite aux patients. Je suis en formation pour être plus apte à communiquer avec ceux qui désirent des visites. Un soutien, un geste, un regard, un silence et parfois un échange dans la prière font que ce partage devient pour les malades une parenthèse heureuse et enchantée. »

Ces témoignages disent l’importance de la mission de l’aumônerie au sein du centre hospitalier. Être malade n’est pas facile, seul dans un hôpital… dans une chambre… sur un lit ! Porter un peu de réconfort est une œuvre qui fortifie notre foi.

La visite, la présence, l’écoute de TOUS, croyants ou pas, nous permettent de vivre notre foi auprès de nos frères et sœurs fragilisés par la maladie, le handicap, le grand âge.
Nous sommes envoyées pour être témoins de la tendresse de Dieu.

Quel que soit votre situation familiale sociale professionnelle, si vous souhaitez être accompagné le temps de votre hospitalisation, ou s’il vous semble judicieux de signaler quelqu’un avec son accord, n’hésitez pas à nous contacter !

« Au CHIVA, les membres de l’aumônerie sont un signe de la présence d’un Dieu Humain qui rencontre, qui écoute et qui sauve »

Comment nous joindre ?

Au bureau de l’aumônerie situé au fond du hall principal, à gauche (près du lieu multi culturel). Présence du lundi au vendredi de 9h à 17h . En dehors de ces horaires, les week-end et jours fériés, en cas de demande religieuse urgente, contacter le standard au

05 61 03 30 30

En mettant un mot dans la boîte aux lettres du bureau

En téléphonant directement à l’aumônerie au

05 61 03 30 31

(La messagerie est écoutée régulièrement)

Si la demande concerne un autre culte, nous faisons le lien avec le culte protestant et le culte musulman de l’Ariège.

La mission de l’aumônerie : 

être présent à chaque personne qui en fait la demande


Comment s’adresser à l’aumônerie ?

Directement si vous êtes :
  • La personne hospitalisée
  • La famille
  • Les proches
Directement avec l’accord de la personne hospitalisée si vous êtes :
  • Les soignants
  • Le personnel

QUELLES ACTIONS ?

  • Visite fraternelle
  • Rencontre en humanité pour permettre à la personne malade et/ou âgée de conserver un lien social.
  • Accompagnement spirituel
  • Écoute de sa vie et de ses questionnements existentiels
  • Accompagnement religieux
  • Prière
  • Sacrements : communion, sacrement des malades
  • Accompagnements des familles
  • Accueil, prière, présence

LE CADRE JURIDIQUE DU SERVICE DE

L’AUMONERIE

L’aumônerie est un service de l’hôpital légalement reconnu par la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l’État : «…l’établissement de santé public assure le libre exercice des cultes… ».

Dans la charte du patient hospitalisé il est précisé :

« L’établissement de santé doit respecter les croyances et les convictions des personnes accueillies. Un patient doit pouvoir, dans la mesure du possible, suivre les préceptes de sa religion »

« …lorsque la personne est parvenue au terme de son existence elle reçoit des soins d’accompagnement qui répondent à ses besoins spécifiques. Elle est accompagnée par la personne de son choix (…) »

Les besoins spirituels et/ou religieux font partie de l’attention portée par le personnel soignant dans le cadre de la prise en charge globale de la personne.