Ariège Catholique

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Activités paroissiales récentes

par | 16/04/2025

Je m’appelle Julie, j’ai 32 ans, je suis infirmière libérale au Fossat.

J’ai un fils de 18 mois, Paul, et nous vivons avec son père à Pailhès.

Pour que vous me connaissiez un peu mieux je vais vous raconter brièvement pourquoi je souhaite devenir catholique. 

Enfant, j’attendais patiemment.  Je pensais qu’une fois adulte, je saurai tout, je connaitrai la Vérité. Je voyais les années défiler et il me tardait l’année suivante. Bien sûr, j’ai compris qu’être adulte ne signifiait pas tout savoir, bien au contraire. Le chemin serait périlleux. 

J’ai grandi au sein d’une famille coupée en deux. L’une était catholique non pratiquante, et on ne m’a jamais parlé de Dieu, mis à part mon arrière-grand-mère, Berthe Cazanave, mais nous avions un écart d’âge si important, qu’elle n’a pas pu me transmettre sa Foi. L’autre était athée. Eux par contre m’ont parlé de Dieu, mais le message était celui-ci : Dieu n’existe pas, les religions ont été créées pour asservir les Hommes. Alors, j’ancrai en moi ce postulat qui me servira de point de départ dans la vie. 

Mais durant mes premières années d’autonomie, je n’ai pas pu m’empêcher de penser qu’il y avait peut-être autre chose, alors je laissais un peu de place à cette possibilité. Sur mon chemin, j’ai rencontré beaucoup de personnes, des sachants, c’est à dire des personnes très hautement avancé dans une quête spirituelle quelconque, alors j’allais voir, comme si je passais ma tête au travers d’une fenêtre, mais au bout d’un certain temps, je me rendais compte qu’il n’y avait rien à trouver de bon, je refermais alors la fenêtre à jamais. Mais je suis toujours restée enthousiaste à l’idée de rencontrer une première once de Vérité.

Un jour, j’ai lu un livre, d’aucune confession, mais qui disait que l’on pouvait parler directement avec Dieu. Alors j’ai prié très fort, et Dieu m’a accordé une grâce ce jour-là. Aujourd’hui je suis intimement convaincu qu’il était présent avec moi. J’ai continué mon chemin, toujours perdue tout de même car je n’avais rien à quoi me raccrocher.  Mais le Seigneur ne m’a jamais quitté, et même dans les moments les plus sombres, les plus difficiles, il était présent. Un jour, je priais dans le désespoir et dans une solitude immense, et il m’exauça.  Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, ce n’est qu’aujourd’hui que tout prend son sens. Alors que mon baptême arrive à grand pas, je fais le bilan de ma vie. J’ai fait beaucoup d’erreur, j’ai dû passer par beaucoup d’étapes avant de rencontrer Jésus-Christ. Il a été d’une infinie tendresse et d’une très grande patience à mon égard, et il a semé des petites graines qui ont germé. Un jour j’ai trouvé la croix que je porte autour du cou, de façon totalement improbable. Elle m’a aidé, depuis quelques mois à nourrir ma Foi. Depuis le jour où j’ai contacté le père Jean Marcel pour demander ce qu’il fallait faire pour être baptisée, j’ai enfin eu de la matière, enfin une ligne de route, un sens vers où aller. J’ai été accompagnée et le suis encore par le catéchuménat, animé par Eva et Martine, qui m’apporte tellement. Je me suis dirigé vers la chrétienté, un peu comme une dernière chance, c’était ma dernière tentative de chercher Dieu. J’ai rencontré un enseignement Pur, qui n’a aucun défaut, rien à enlever, rien à modifier, tout est simplement Parfait.  

A présent, la quête de Vérité est bien sûr toujours présente, seulement cette fois, j’ai une boussole qui s’appelle la Foi. 

Merci

Catherine Supéry Présidente d’EntraideS Arize-Lèze

  • Les enjeux de la mission en terre Ariège.
  • Favoriser les rencontres et les synergies.
  • Se former pour avancer et faire avancer la foi.

Répondant à l’appel d’un petit groupe de bénévoles de l’ACAT, des chrétiens des secteurs du Mas-d’Azil et de Lézat se sont réunis au temple du Carla-Bayle à l’occasion de la Nuit des veilleurs 2024, le mercredi 26 juin de 18 h à 20 h.

  • Pensons à signer et à envoyer les cartes « L’appel du mois » qui permettent d’attirer l’attention sur des cas graves d’atteinte à la dignité humaine. Loin de nous, près de nous, ne tolérons plus l’insupportable, même si nos moyens d’action semblent dérisoires !

Confirmation des enfants

Ce magnifique ensemble monastique abrite une communauté de 25 sœurs qui applique la règle de Saint Benoît, c’est-à-dire, en résumé, une vie de prière et de travail (ora et labora).

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